Pierre Caillaud-Croizat

Pierre Caillaud-Croizat

Texte de soutien du petit fils d'Ambroise Croizat. 

"Ma stratégie devant une élection : je fais le choix de celui qui défend le mieux mes intérêts de classe, qui se confondent avec mes intérêts personnels.

Cette logique me pousse à voter systématiquement pour les représentants du parti communiste.
Quand il n’y en a pas, je vote pour le moins pire. Sans aucun état d’âme quand il faut écarter un candidat d’extrême droite.
Cette approche binaire présente pour moi un grand avantage, elle m’évite de me faire des nœuds dans le cerveau. Quand tout est bien rangé à sa place, on y voit déjà plus clair.
J’ai trouvé mon compte dans le programme « les jours heureux » et j’apporte un soutien sans réserve au camarade Fabien Roussel.
Il fait une belle campagne qui redonne des couleurs aux idées communistes. Dans les temps actuels et à venir, il est plus que jamais urgent et nécessaire que l’originalité de cette voix porte des perspectives pour l’avenir de nos destins et des générations futures et résonne à nouveau aux oreilles des électeurs.
Il est à noter également que Fabien Roussel a su déborder la sphère des militants et soutiens de son parti, car nombre d’autres partis à gauche ont décidé de soutenir sa candidature. Ce qui fait aujourd’hui du PCF le seul parti qui a réussi à agréger une union à gauche.
Un autre exemple qui met en lumière toute cette originalité : il n’y a que le programme « les jours heureux » qui fait référence à l’importance majeure de la cotisation sociale pour abonder le financement de la Sécu. En la circonstance, Fabien Roussel se fait le défenseur de l’héritage de Croizat.
Dans l’espoir que cela se traduira dans le résultat des urnes, pas seulement aux présidentielles mais aussi et surtout dans les suivantes. Rien n’est écrit d’avance dans un pays où les vainqueurs de toutes les élections sont les abstentionnistes. Soyons nombreux à prendre le chemin des Jours Heureux, pour faire obstacle à ceux qui protègent les intérêts des plus riches, plus prompts au reversement de dividendes qu’à la répartition des richesses."